Sport extrême cycliste objet de nombreux paris sportifs y compris ceux avec Unibet Code promo, le BMX est une activité qui requiert force physique, agilité technique et sens du spectacle. À ses débuts, le BMX existait seulement en mode ‘’Race’’, une formule de courses entre riders. Mais au fil des évolutions, ce sport a donné naissance à une deuxième variante beaucoup plus artistique et adulée du public : il s’agit du Freestyle. Quelles en sont les différentes disciplines ?
Le Dirt et le Trial
Le Dirt est la première discipline Freestyle du BMX. En effet, cette discipline a été créée par d’anciens pratiquants du Race qui, lassés des courses, ont trouvé leurs plaisirs en faisant des figures. C’est ainsi que ceux-ci tracent leurs propres courbes capables de permettre la réalisation d’élans aériens spectaculaires.
Du Dirt, est issue une nouvelle variante de Freestyle BMX, le Trial. En effet, si le Dirt a pour but la réalisation d’une figure à chaque saut, le Trial poursuit le franchissement d’une série de bosses avec le plus d’originalité possible. En raison de la robustesse qu’elles requièrent, ces disciplines se pratiquent au moyen d’un vélo à cadre et à roues solides.
Le Flat
Le Flat est une vague de Freestyle BMX qui a fait son apparition à l’orée des années 80. À l’origine, ce style de Freestyle consistait uniquement à faire des équilibres en mode arrêt, les deux roues fixées au sol. Il fallait ainsi pouvoir rouler debout sur le cadre du vélo ou sur son guidon ou autre partie. À la suite de ce concept, sont nés les pegs aux moyens desquels se réalisent encore plus d’enchaînements de styles. Très original, le Flat est plus considéré de nos jours comme un art qu’un sport.
En effet, lors des compétitions, l’aspect artistique des pilotes est beaucoup plus recherché que leurs facultés sportives. Pour exceller dans le flat, le pilote BMX doit se munir de protèges tibias pour échapper au retour des manivelles de son engin. En effet, dans ses élans, il risque de graves blessures au tibia du fait des pédales types communément désignées sous le terme « pièges loups ». Cependant, bien qu’étant la discipline de Freestyle la plus compliquée en BMX, le Flat est moins dangereux que ses disciplines sœurs.
La Rampe
En ce qui concerne la Rampe, c’est une variante de freestyle BMX qui s’inspire du skate. Elle s’effectue sur une rampe de 3,10 m à 3,90 m sur la hauteur. Tout comme le Flat, la Rampe privilégie la réalisation de figures artistiques aussi délicates les unes que les autres.
Au nombre des figures au répertoire de cette discipline, on peut citer le ‘’540°’’, le ‘’360 manual’’, le ‘’Flaire’’ et le ‘’Back Flip’’. Pour y réussir, le coureur doit avoir un mental d’acier, de la patience et de la technique.
Le Street
Apparue quelques temps seulement après le Dirt, le Street est la version urbaine du Freestyle BMX. En effet, il se pratique en milieu urbain à partir de tout ce que ce genre de cadre dispose comme supports : mobilier urbain, bancs publics escaliers et rambardes, rue etc. C’est de cet environnement particulièrement urbain que ce type de Freestyle tient son nom. En la matière, toutes les figures sont possibles. Le pratiquant du Street doit s’équiper des protections ordinaires. En effet, il doit disposer de freins puissants pour son vélo ainsi qu’un cadre robuste et long.