CYCLISME PROFESSIONNEL

Tour de France: voici quelques faits amusant

Équipe de télévision à vélo 300x243 - Tour de France: voici quelques faits amusantS’il y a un tournoi cycliste dont le déroulement retient chaque année l’attention des spectateurs du monde entier et des inconditionnels des paris sportifs et les paris mobiles chez Unibet, c’est bien le Tour de France. Tournoi international majeur, le Tour de France s’inscrit depuis de nombreuses années dans la légende. A côté de l’histoire des grands champions qui en sortent, le tour est également marqué par de nombreux faits insolites qui tout en amusant le public, en font la popularité et la particularité. En voici quelques-un.  

L’époque où les cyclistes réparaient leurs vélos eux-mêmes…

Jadis lors du tour de France, ce sont les cyclistes eux-mêmes qui se chargeaient de la réparation de leurs vélos de course. En effet, tel était le règlement instauré par le premier organisateur de la compétition Henri Desgrange. Ainsi, les participants au tour de France devaient se charger de réparer eux-mêmes les pannes en cours de route, mais aussi terminer le tour avec le même vélo qu’au top de la course. L’histoire rappelle le regrettable incident du virtuel leader du Tour de France de 1913, Eugène Christophe, obligé de remettre lui-même en état la fourche brisée de son vélo   

La fameuse ‘’pause pipi’’

cyclistes 300x231 - Tour de France: voici quelques faits amusantL’une des particularités du Tour de France est son sens notoire du Fairplay qu’on peut apprécier au regard de la tradition de la « pause pipi ». Pour permettre à tous les coureurs de se soulager après d’interminables heures de pédalage, des pauses pipi ont été décrétées. Le but de cette coutume est d’instaurer des moments d’arrêts pour tous les coureurs afin de leur permettre de satisfaire aux appels de la nature sans avoir la crainte de voir un concurrent en profiter pour rejoindre le peloton de tête.

Lorsque le dernier du Tour de France représentait un enjeu                                       

Autrefois, occuper le dernier rang du Tour de France représentait aussi un enjeu. Voir les derniers de la course se battre pour la lanterne rouge n’était pas surprenant. Vieille tradition du Tour, la « lanterne rouge » est l’expression qui sert à désigner le tout dernier du circuit en référence à la lumière qui identifiait l’arrière des trains. A l’inverse du peloton de tête qui se battait pour avoir le maillot jaune, le fin fond du classement paradoxalement menait une autre  compétition pour la lanterne rouge. Le prétexte de maladie évoqué par le cycliste Philippe Gaumont en 1997 pour finir lanterne rouge afin d’être l’objet des médias à son arrivée sur les Champs Elysées reste très hilarant.

Lorsqu’une note d’humour s’en mêle…

sport cycliste 300x225 - Tour de France: voici quelques faits amusantLe Tour de France reste également une compétition dans laquelle règne souvent une ambiance humoristique entre pilotes. Au fil des heures de courses, il ne manque pas des moments d’hilarité et de gaieté au sein des coureurs. La fameuse blague du champion américain Lance Armstrong lors du Tour de l’an 2000 reste dans toutes les mémoires. Pour rappel, l’américain n’a pas hésité à enfiler une perruque lors de la course pour simuler une attaque. La scène marquante a fait le tour du monde et amusé le public.

La tradition de l’ardoisier

Il y a des traditions dans le Tour de France qui ne meurent jamais en dépit des avancées technologiques qu’a connu la compétition. Parmi celles-ci, celle de l’ardoisier fait office de véritable pratique culturelle. En effet, l’ardoisier du Tour de France est la personne qui assise à l’arrière d’une moto présente à l’intention des coureurs, l’ardoise sur laquelle sont marqués les écarts qu’il peut avoir entre les divers groupes à la course.  Cette pratique relève plus de nos jours du symbolisme culturel et du folklore. Tous les compétiteurs étant en permanence reliés aux véhicules des directeurs sportifs via leurs oreillettes, la tradition de l’ardoisier n’a plus son sens initial.

Related posts

Cyclistes professionnels et amateurs : ce qui les différencie

bmxmag